[Cold War Commander] Bataille de Antar - 2000 pts, USMC (Havocation) VS Barbukistan (Wanzer)

Alors qu'il revenait de la mosquée, Izrabdallah Ibn Al Manar avait aperçu son petit neveu Ahmed qui jouait au football avec ses copains. A 6 ans, Ahmed était déjà un enfant intelligent, curieux et ouvert d'esprit, mais l'éducation qu'il recevait de ses parents fâchait Izrabdallah. Alors qu'il aurait dû se trouver à la mosquée pour y apprendre les Écritures et prier, ses parents le laissaient jouer et se prélasser en rue, en compagnie d'autres enfants du quartier pauvre qu'ils habitaient.
Le jeune chef de guerre avait ordonné au chauffeur d'arrêter le toyota Land Cruiser dernier modèle qui était sa voiture. Il en était sorti, s'était allumé une cigarette, avait rajusté ses lunettes solaires bon marché sur son nez. Après avoir tiré une longue bouffée de tabac, il en avait retenu quelques instant la fumée en contemplant le coucher du soleil, dont les rayons se reflétait sur les dorures du minaret de la mosquée Jawara. La chaleur ambiante, la luminosité rougeâtre du paysage, l'odeur du tabac... le texte qu'il avait étudié 1 heure plus tôt à la mosquée... son neveu qui jouait au ballon tout en buvant du Coca-Cola... Tout cela raviva en lui des souvenirs douloureux.

Le petit Ahmed aperçu son oncle, et il laissa tomber la balle avec laquelle il jouait. Il couru vers l'homme à la forte carrure, vêtu d'un pantalon et d'une chemise noirs. Le teint bronzé de sa peau et son épaisse barbe lui donnait des airs de héro local, que renforçait encore son visage dur et sombre. Pourtant, Ahmed adorait son oncle. Pas seulement parce qu'il se sentait en sécurité avec lui, mais aussi parce qu'il lui racontait toujours des histoires et lui apprenait plein de choses sur la vie.

Le chef de guerre s'accroupit, tira ses lunettes et jeta sa cigarette dans un tas de gravats.

- As salam alaikoum, Ahmed.
- Wa alaikoum as salam, mon oncle!
- Tu t'amuses avec tes copains Ahmed?
- Oui mon oncle, ils s'ennuyaient alors je leur ai proposé de jouer au ballon!
- C'est bien Ahmed, il est bon de faire du sport. As-tu bien travaillé à l'école?
- Bien sur mon Oncle, le professeur est très content de moi, il dit que je serai un jour quelqu'un de bien!
- Très bien! Tu sais Ahmed, pour cela, il faut toujours faire ce que tu crois bon pour toi et pour ta famille, écouter ton professeur, et suivre ce que tu apprends à la mosquée. Tu y es allé ce matin?
- Oui mon oncle, mon père m'emmène chaque matin, et il me laisse jouer après avec mes copains dans la coure.

Izrabdallah ne réagit pas, mais cela le dérangeait. Que son frère n'aille à la mosquée qu'une fois par jour avec Ahmed, ce n'était pas bien grave en soit. Après tout, l'enfant n'avait que 6 ans. Mais il avait des capacités qu'il fallait entraîner. Cet enfant allait devenir un jour un grand homme. Il le savait. Ses professeurs le savaient. Allah avait choisit cet enfant pour qu'il devienne quelqu'un de grand, fort et juste. Son frère Icham avait aussi été marqué par la guerre, mais cela l'avait plutôt détourné de la Foi. Izrabdallah ne fit même pas de réflexion sur le football ou sur la boîte de Coca-Cola, mais il prit les mains de son neveu dans les siennes, et plongea dans les yeux de l'enfant un regard perçant.

- Ahmed, je vais te raconter une histoire. Lorsque ta maman t'a mis au monde grâce à dieu, j'étais là tu sais. Ton père et moi étions alors dans la Maale Al-Moussaha, l'armée de Dieu. Je commandais un char et ton père s'occupait du canon. C'était un T55, un char que l'armée avait acheté aux russes, et que nous appelions "Eram", l'épée. Le jour de ta naissance, c'était pendant la guerre contre les capitaliste américains...

Il fermait les yeux et se rappelait cette après-midi.






Il avait reçu un appel sur son smartphone à 13.05 Hrs. Un homme qu'il ne connaissait pas lui avait juste dit "Les Américains attaquent le village, prends ton char, tes hommes et défends ta famille. Qu'Allah soit avec toi." Il n'avait jamais su qui lui avait dit cela, mais il avait écouté ce que son coeur lui disait. Il avait bien ressenti la peur, mais pouvait-il en être autrement, alors qu'il savait que les troupes américaines étaient bien entraînées, très lourdement équipées, et

disposaient de chars Abrams de dernière génération, de l'appui d'artillerie navale et d'hélicoptères Cobra? Mais il avait enfouit cette peur au fond de lui. Ce n'était pas le moment. Dieu l'aiderait à l'oublier, et il pourrait prier ensuite pour retrouver la paix intérieure.
Il avait vite rejoint l'équipage de son char, qui était déjà en train de le démarrer, dans un vaste garage aménagé dans un ancien attleier d'impression. Son frère Icham, le papa du petit Ahmed, était nerveux, car sa femme enceinte avait besoin de sa présence, mais il avait écouté Allah et était présent, au commande du T55.
Dans un rugissement sourd, les 4 chars qui composaient leur petite force blindée avaient quitté le bâtiment aus teintes ocres, pour filer plein gazs vers l'ouest du village d'Antar. Le village devait compter un milier d'habitants, mais il était d'une importance stratégique dans la région, de par la proximité d'un aéroport et d'une antique forteresse qui servait de base de repos à un grand nombre de recrues du Djihad islamique local. Izrabdallah avait beau être fervent pratiquant, il avait éprouvé quelques inquiétudes lorsque le Djihad avait décidé d'utiliser la base aérienne à des fins militaires contre les Américains, en raison de la proximité du village où vivait toute sa famille.



Il recevait les instructions sur la manœuvre à accomplir par radio, mais celle-ci était défectueuse, et il devait parfois faire stopper le char afin d'entendre quelque chose dans l'interphone. Apparemment, une petite force de Marines capitalistes avait progressé jusqu'à l'aéroport, et empruntait la route principale qui menait jusque Antar. Aux abord du village, un blindé de reconnaissance ami avait aperçu 2 chars Abrams et 3 blindés de transport AAV7, mais il avait aussitôt été découvert été détruit par les chars américains. Le commandant du peloton de blindés semblait fort affecté par la perte de son unité de reconnaissance, et cela s'entendait à la radio. Izrabdallah sut par la suite que dans le petit BRDM de reconnaissance se trouvait le fils du commandant de peloton.

Les bruits d'une violente fusillade en direction du village lui parvenait aux oreilles. Il vit distinctement le tir d'un missile antichar partir du toit de la mosquée Al Akba, suivit de nombreux tirs d'armes automatiques.

Alors que les T55 se regroupaient dangereusement à proximité du pont qui enjambait la rivière Salawe, Icham hurla dans l'intercom : "Chars ennemis à 1 heure, distance 1800 mètre!" Izrabdallah relaya l'information, attendit la réponse 2 secondes qui lui semblèrent une éternité. Le commandant de peloton semblait hésiter, puis donna l'ordre d'ouvrir le feu. Izrabdallah donna ses courtes instruction. Le chargeur Abdul engagea un obu sabot dans la culasse, le signala au canonnier, Icham. Le coeur d'Izrabdallah battait à 140 pulsations minutes, il monta à 156 lorsque qu'il cria "Allah Akba!", repri en coeur par tout l'équipage, et un instant plus tard, le canon D-10T2S de 100mm du char baptisé "Eram" cracha un éclair de feu en direction du puissant char Abrams. En 4 secondes, 3 des 4 chars avaient fait feu. Aucun des hommes ne put savoir si leurs tirs avait fait mouche, mais l'Abrams ne riposta pas.

L'escadron eut à peine le temps de se replier derrière les berge de la rivière, avant qu'un déluge de feu ne s'abatte sur leur position. L'air n'était plus que feu, métal et sable tourbillonnant en un ballet mortel. Le sol semblait mouvant comme une mer, tandis que des obus d'artillerie de gros calibre explosaient entre les T55.

Immédiatement après, plusieurs roquettes touchèrent le blindé à gauche de "Eram". Personne n'avait vu l'hélicoptère Cobra qui s'était soigneusement positionné pour tirer sa cargaison mortelles de roquettes LAU-69/A.
Puis le calme relatif revint aussi soudainement que le déluge avait débuté. Les chars se déplacèrent, mais le char touché ne broncha pas. Une colonne de fumée noire s'élevait du compartiment moteur. Izrabdallah donna l'ordre à son pilote de se rapporocher prudemment de la carcasse en flammes.
Son copain Idril se tenait debout à côté de son char "Qamar". Izrabdallah lui cria de remonter dans son blindé en raison du danger de mort qu'il encourait, mais Idril semblait léviter sur le sable, comme perdu dans ses pensées. Izrabdallah se pencha hors de la tourelle pour voir le visage de son camarade, et il comprit pourquoi celui-ci ne réagissait pas. Idril était un jeune homme de 22 ans, à la musculature équilibrée, au visage rieur et volontaire. Un type toujours de bonne humeur, généreux et réfléchi dans les moments où l'on aurait perdu patience. Il était imprégné des Saintes Ecritures, et la joie avec laquelle il aidait son prochain touchait souvent ses supérieurs. Et là, à côté de "Qamar", Idril se tenait debout. Son œil gauche pendait hors de son orbite. Sa mâchoire inférieure avait été arrachée, et du sang s'écoulait par saccade hors de sa gorge déchirée. Son oeil restant était grand ouvert, sans doute l'adrénaline inondait-elle le cerveau du pauvre homme au
point qu'il ne réalisait pas qu'il avait été mortellement touché par les éclats d'une roquette de l'hélicoptère américain. La peau de son visage était un mélange de chaire brûlées et de sang partiellement coagulé. Malgré toute l'amitié qu'il avait pour cet homme, Izrabdallah ne put soutenir cette vision et dû détourner le regard.
Il vomit par-dessus la tourelle de son char. Il se redressa, et vit Idril tituber dans le sable, tomber à genoux puis sur le sol, tandis que son corps convulsait...
Izrabdallah se frotta la bouche du revers de la manche et s'alluma une cigarette en tremblant. Dieu ne pouvait pas permettre que d'aussi braves gens soient tués aussi lâchement...

Un vieux pickup Toyota équipé d'un canon antiaérien ZU23 roulait à quelque distance de son char, et Izrabdallah lui fit signe de ne pas s'éloigner de la colonne de blindés. Il devinait l'anxiété de l'équipage du 4x4, qui devait suivre les blindés et scruter l'horizon à l'affut de la moindre menace tout en manœuvrant sur la route défoncée, entre les colonnes de fumées que les blindés laissaient dans leur sillage.

L'autre escadron blindé qui consitutait l'aile gauche du dispositif ami était composé de 5 chars T62, et semblait avoir un contact visuel avec les transports ennemi, qui franchissaient le pont sur la route principale. Izrabdallah s'était calmé, il avait rassuré son équipage et tous étaient à nouveau concentrés. Il percevait l'excitation des chefs de char qui tentaient d'avoir un visuel sur leurs cibles, tout en redoutant les terribles Abrams ennemis. Il sorti prudemment la tête hors de la tourelle exiguë de son T55 et observa les environs. A environ 2000 mètres devant lui, là où quelques dunes et palmeraies étendaient leurs ombres sur le sable brûlant, son œil vif aperçu plusieurs reflets. Il saisit sa paire de jumelles et fixa l'endroit où il lui avait semblé percevoir les reflets, mais ne décela aucun mouvement. Un bruit d'hélicoptère capta soudain son attention... Sur sa gauche, là où devaient se trouver les T62 amis, un hélicoptère ennemi volait en rase-motte...
Il vit d'abord de la fumée sur les flanc de l'appareil d'attaque au sol, puis entendit seulement le "wooooosh" caractéristique de tubes lance-roquettes crachant leur dévastatrice cargaison...
Sur les ondes radios, on entendit juste "Par Allah, c'est notre jour!" et plusieurs chefs de char indiquèrent qu'ils engageaient des blindés ennemis.


Le jeune chef de char reçu l'ordre de foncer vers la palmeraie face à lui, où son commandant avait détecté la présence d'unités ennemies isolées. Il en donna l'ordre au pilote d'"Eram", et la lourde machine accéléra sur la route sablonneuse.
Sur sa gauche, il entendait de moins en moins de tirs en provenance du village, ce qui n'était pas nécessairement un bon signe... Son commandant de Peloton l'informa que la situation était critique et que seule l'aile droite était en bonne posture, sur les arrières de l'ennemi. L'infanterie d'élite quittait ses positions dans le village, et les T62 étaient détruits l'un après l'autre par les Abrams.

La rage montait dans le coeur du chef de char, il brûlait d'envie de venger ses frères tombés au combat, et de montrer à ces chiens d'américains qu'on ne s'en prenait pas ainsi à son village, sa famille, et tout ce qui lui était cher depuis tant d'années. Un véhicule de reconnaissance LAV25 apparut soudain dans le champs de vision du chef de char. Il hurla à Icham de se tenir prêt au tir. Tout l'équipage ne faisait plus qu'un homme. Malgré leur manque d'entraînement, ils se connaissaient bien car ils étaient frères ou amis, et pas seulement soldats.
"Eram" fonçait à travers les broussailles, et son canon cracha un obu mortel pour le petit LAV25. Percuté de plein fouet juste entre la coque et la tourelle, le blindé de reconnaissance fut projeté d'une dizaine de mètres. Son équipage fut tué sur le coup.





- Mon oncle, tu me raconte l'histoire de la bataille contre les Américains, quand papa et toi avez sauvé maman?
- Oui Ahmed, tu es en âge de savoir, maintenant.

Izrabdallah regardait son neveu qui était impatient d'en savoir plus. Il ne se demandait pas si Ahmed était trop jeune ou pas pour apprendre les détails de cette histoire. Cette bataille avait été un véritable massacre, peu des combattants de leur village qui y avaient pris part avaient survécus. Mais elle avait fait naître une grande chose. Tout le monde avait vu à quel point les occidentaux étaient belliqueux lorsqu'ils pouvaient accroître leurs possessions, et tous savaient à présent
que le combat s'inscrivait dans la durée. Le Djihad prenait tout son sens.

Et cela passait par l'éducation des plus jeunes.

Le village d'Antar, au centre.  Au Nord-Est, l'aéroport.  au Sud-Ouest, l'ancienne forteresse.


Vue rapprochée de l'aéroport.



L'escadron auquel appartient le "Eram", visible au milieu.



Les Abrams ont pris position aux abords du village.



Les AAV7 traversent le pont à découvert.



L'infanterie barbukistanaise prend position dans le village, avec l'appui d'un observateur d'artillerie.



Un LAV25 de reconnaissance se place à proximité du village pour observer les T62 ennemis.



Le Cobra s'attaque sans grand succès aux T62.



De furieux combats s'engagent dans le village.



Les T55 prennent pour cible un Abrams, mais ne parviennent qu'à l'immobiliser momentanément.



L'artillerie navale américaine est plus présente que son homologue barbukistanaise, mais néanmoins peu efficace.



Un Cobra se positionne pour faire feu sur les T55.



One Echo down!



La poussée américaine dans le village est trop forte, les Barbukistanais refluent vers le fort.



Les Abrams détruisent les T62 désorganisés.



Le Fort est transformé en dernier bastion de résistance.



Le coup au but de "Eram".

Une super bataille, qui me laissera d'excellents souvenirs!

Jouer sur une aussi belle table et avec d'aussi belles figurines est un vrai plaisir!  En plus Havoc a réalisé un travail extra sur les résumés de règles et fiches d'unités, ce qui rend la partie bien plus fluide.  Les règles sont détaillées mais ça me semble bien réaliste.  En comparaison avec NetEpic (j'y ai joué il y a une semaine, et ça simule le même niveau d'engagement), c'est moins fluide et moins fun, mais on y gagne en réalisme.

J'ai appris que les observateurs d'artillerie Barbukistanais sont vraiment médiocres (Cmdt de 6), il ne faut donc pas trop compter sur l'artillerie dans le camp arabe.  Les Abrams sont quasi indestructibles et ça fait mal...    Par contre, la menace des hélicoptères m'a moins effrayé en réalité que sur le papier.  J'ai mal utilisé mon BRDM de recce, alors que Havoc a particulièrement bien exploité les capacités de ses propres véhicules de reconnaissance, bien sympas à utiliser d'ailleurs.

Au niveau de mes choix de troupes, on est évidemment toujours un peu limité par ce qu'on a pu acheter et peindre, mais j'ai négligé les BMP avec ATGMs en raison de leur portée minimale handicapante, et du nombre important de décors sur la table... Mais ils m'auraient sans doute été plus utiles que mes 3 Gvozdikas et mon camion lance-roquettes.  

Bref : Du tout bon!!!!  Et je me demande ce que fera le petit Ahmed quand il sera grand...

Magnifique travail de débriefing !
Je l'attendais impatiemment depuis mercredi passé, mais l'attente en valait le coup !

Et qui sait, d'ici nos prochaines batailles, Izrabdallah aura encore des choses à raconter à son neveu  

Là-dessus, tu me donnerais presque envie de raconter cette bataille à travers les yeux d'un de mes marines...

Merci! 

Citation :

Là-dessus, tu me donnerais presque envie de raconter cette bataille à travers les yeux d'un de mes marines...

Miam... je t'y encourage  

Beau rapport de bataille...
Belle photo...

Effectivement, on en parlais encore avec Derfel, dés lors où l'on propose de belles tables de jeu, on ne s'en lasse pas...

Jack

C'est surtout Havoc qu'il faut féliciter  

Pour ma part, j'ai surtout travaillé à faire un compte-rendu de bataille qui présente mon humiliante défaite en une demi victoire morale pour le Barbukistan    

Ah quoi sert une belle table si ce n'est de partager de bons moments...

Je commence à gérer mes marines !
Pour la prochaine partie, je prendrais les insurgés et tu auras le plaisir de connaître la puissance du vénérable M1A1 Abrams !

Sinon j'ai commencé mon histoire côté marines, mais mes grands talents de scribe me bouffe tout mon temps libre...
Je pense pas le finir à mon grand regret même si le début était prometteur  

Juste une question par rapport au débriefing de bataille...

Pourquoi avoir envoyé les américains?...

Il est connu de tout le monde que le Barbukistan est le pays des barbus qui se tannait! (...Entre eux!)

Lol que t'es C**  

Je sais... mais çà je le savais déjà avant...

Bon rapport, tant dans la forme que dans fond. Belles photos

Merci! Ca faisait une plombe que je n'avais plus un peut réfléchi pour écrire un texte, même si je n'ai pas vraiment relu ni peaufiné, ça me semblait pas trop mauvais.

Salut tout le monde!  
Un petit week-end de congé durant la PIM... dur dur. Je repars demain pour Elsenborn.

Belle partie au passage! Très jolies photos  

Allez, à dans 3 semaines!  

Ta formation de padawan tu reçois jeune novice...

Dans quelques mois Elsenborn plus froid que Hoth tu connaitras !  

Oui c'est ça... mais le para-commando qui nous instruit, il ressemble pas trop à Yoda  
Sinon pour l'instant c'est vrai que niveau température on est gâté, il fait même trop chaud!

Je sais pas si c'est fait exprès, mais Hoth (hot) ça veut quand même dire "chaud" en anglais. Pour une planète toute blanche c'est quand même spécial.  

Si George l'avait appelée Cold ça n'aurait peut être pas aussi bien donné  

Pour ta formation ca sera tes plus dures années, mais tes meilleurs souvenirs de militaire !
Courage et bonne merde pour la suite...

Havocation a écrit:

Pour ta formation ca sera tes plus dures années, mais tes meilleurs souvenirs de militaire !
Courage et bonne merde pour la suite...

Je n'y ai fait qu'une année, mais je m'en souviendrai toute ma vie, alors vois ça d'un oeuil positif  

Avec quels matériaux as-tu fait les impacts d'explosion, Havoc? Celui que tu mets sur les tanks détruis dans les photos.

Je te ferai un mini tuto car c'est casse bonbon à faire, c'est pour ça que j'en ai créé qu'un ?   

Bien beau rapport de bataille, belle naration!!!

Goldo

Merci! Et la table l'est aussi...