Fritz était en train de prendre tranquillement un café généreusement arrosé de schnaps, perché dans la tour radio de la ferme, quand son quart lui échappa des mains et tinta bruyamment contre le plancher. Après quelques instants, il se rua dans les escaliers de bois en hurlant «Alarm! Alarm».
Ses camarades l’interrogèrent vivement et il expliqua : « Les Vaches !! Etienne a disparu et les vaches se baladent librement !! Ca sent le coup fourré... » (à prononcer avec un lourd accent teuton).
A peine le détachement avait-il pris ses positions de défense et appelés des renforts qu’ils aperçurent des mouvements suspects dans les fourrés en face d’eux. Soudain, un coup de feu claqua et Fritz, touché à la tête, s’écroula. Alors que les combats pour la possession commençaient, personne n’entendit les dernières paroles du pauvre Fritz : « Ach ... Les vaches!!».
Dans les faubourgs de Villers-Bocage se trouve installé un poste d’observation allemand de la panzer Lehr qui coordonne les tirs de l’artillerie régimentaire. Le fermier Etienne a fuit dans la campagne ou il a eu la chance de rencontrer l’avant-garde de la 7ème division blindée anglaise. Guidé par le fermier les anglais montent à l’assaut.
C’est une attaque surprise donc pas de tir de barrage préparatoire.
L’anglais est l’attaquant, l’allemand le défenseur, celui qui contrôle l’objectif au tour 8 est le gagnant. Le budget est de +/-1500. Une partie de l’armée allemande arrive en renfort au tour 3 (on ajoute les dés de cdt correspondant). Les troupes allemandes sur table commencent en situation d’embuscade.
Note, il faudra peut-être retravailler le scénario pour l’équilibrer le but ici est de montrer la mécanique.
Pour les sections l’armement est pour les 10hommes, un bren remplace l’arme de base de l’homme et il occupe un loader aussi (donc -2 fusils). Le panzerfaust est en sus de l’arme de base.
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la volonté de Dieu est l'asile de l'ignorance (Spinoza 1632-1677)