Pour le préambule et la présentation de la bataille je n’ai pas grand-chose à ajouter par rapport au post de reconnaissance précédant.
Je vous propose donc de rentrer d’emblée dans le vif du sujet ;-)
Tour 1
Nous (les Français) avons décidé de déployer notre cavalerie légère sur l’aile droite malgré la possibilité (décrite dans le scenario) permettant de rentrer cette brigage n’importe ou du bord de table. Le but est de pouvoir réagir rapidement en cas de menace sur notre batterie , elle-même protégée par deux escadrons de dragons intégré à la brigade.
Les Alliés font eux le choix de prendre la possibilité prévue par le scénario et déploient leur brigade de cavalerie légère sur leur gauche et se retrouve face à la notre .
Leur batterie rentre par la route.
Tour 2
Les Français s’élancent vers la cavalerie légère Alliée . Un escadron de dragon échoue face au canons d’artillerie a cheval belge , il est repoussé par la mitraille.
Afin de couper l’initiative à l’ennemie on aurait bien voulu suivre mais nous ne pouvons pas organiser d’autres charges faute de commandement .
L’infanterie entre en jeu par la route pendant que les britanniques progressent en colonne et font entrer leur cavalerie lourde sur notre gauche.
La garde entre en jeu
La brigade de la garde renforcée par un bataillon d’infanterie légère
C’est au tour des lanciers de s’élancer sur le 12th dragoons mais ceux-ci contre-chargent pendant que les dragons français viennent a bout de l’artillerie et poursuivent leur élan sur les hussard Anglais . Ceux –ci pris à froid sont rapidement mis en déroute .
le premier chasseur vient ensuite a bout du 12th affaibli par le combat précédent , ce qui met le reste de la brigade de cav légere alliée en déroute complete . On dirait bien que l'initiative alliée sur ce flanc à tourné court !
Seul subsiste face aux 1er chasseurs , le 6eme hussard qui ne peut que reculer .
Tour 4-5
La garde impériale se porte à l’avant pour encaisser le choc de l’attaque des brigades alliées , bien conduites , qui se pressent en force au centre . Un écran de tireurs francs du deuxième bataillon d’infanterie légère est déployé pour freiner l’élan britannique . Sur le flanc droit ,notre cavalerie (quasi intacte) se regroupe en vue d’une charger la batterie hollando-britannique.
la cavalerie lourde britannique subi plusieurs revers de commandement et de terrain et ne parvient pas a fermer le flanc de son dispositif. Par chance (ou malchance) les cuirassiers français ne font pas beaucoup mieux sur ce même côté.
Tour 6-7
Les dragons s’élancent mais ne tiennent pas le choc face à la mitraille . Attirant le feu sur eux les braves dragons permettent néanmoins aux chasseurs de passer et ceux-ci sabrent a tout va. les artilleurs ne tiennent pas le choc et sont anéantis!
L’autre escadron de dragon charge un bataillon britannique un peu trop exposé. Celui-ci forme le carré et les dragons sont repoussés … pour cette fois.
Ce carré est maintenant à la merci de la 5émé brigade qui dévale la colline…
Sous le feu intense, les lignes ne craquent pas!
Les lignes britanniques sont solides!
Tour 8
Les alliés ont amenés une brigade d’infanterie sur leur droite, 27eme chasseur en tête ,pour pallier au retard de leur cavalerie, un choix qui paye car un bataillon de grenadiers s’écroule sous ce déchainement de feu . La légère tiens toujours mais la situation devient difficile.
Heureusement les cuirassiers chargent pour eviter le débordement , les carrés se forment .
Tour 9
Les cuirassiers empêchent les royal dragoons de passer tandis qu’un autre escadron de cuirassier fonce sur un bataillon anglais qui ne parvient pas a former le carré a temps. Ils sont enfoncés et les chevaux passent dans les lignes, les chasseurs à pied de la garde s’engouffrent sur leur gauche.
Sur le flanc droit , une manœuvre en crabe pas tellement permise n’a, heureusement , pas d’influence sur ces gendarmes d’élites qui se font pourtant maltraiter à bout portant.
Deux carré britannique cedent , et une autre brigade alliée est en déroute.
Au centre les grognards prennent le relais et laissent la légère se regrouper à l'arrière et panser ses plaies . Toute une brigade est en réserve derriere .
Et c’est ainsi que nous laissons nos troupes pour cette fois.
Vu l’heure tardive et le retard pris pour la mise en place notamment , nous n’avons pas pu aller plus loin et devons laisser l’issue de la bataille aux spéculations de chacun. Mais je crois qu’avec trois brigades sur sept en déroute , les alliés étaient en désavantage.
Mais la victoire potentielle Française n’a pas beaucoup de valeur sachant que cette partie faisait ,pour la plus part des participants, office d’initiation.
J'espère que ce RB vous à plu!
Rendez vous est pris pour une prochaine rencontre fin avril sur une table de 5m sur 2 avec encore plus de figurines.
A+